| | « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI | |
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Antonio P.Boras
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| Sujet: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 14:28 | |
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(c) Faith Qui es - tu ?
« Ma vie est une chanson, pas une de ses chansons d’amour où tout est beau et tout est rose. Le plus gros problème de cette chanson, c’est que je ne peux pas la contrôler, je ne suis qu’acteur, pas compositeur. »
Un petit garçon brun était assis sur une balançoire, les deux mains tenant bien les grandes cordes rattachées à ce bout de bois accroché à l’immense chaine du jardin derrière sa maison. Antonio Pierce Boras, fils de Marco et Laura Boras. Marco Boras était un homme connu à Madrid : scientifique renommé, il était marié à Laura Stewart (nom de jeune fille), femme de ménage dans un grand hôtel de Madrid. Le vent frais du mois de Novembre vint se claquer sur son visage, ébouriffant ses cheveux en bataille au dessus de sa tête. Le regard dans le vide, pensif, le jeune garçon entendait ses parents qui se disputaient à l’intérieur de la maison. Cela faisait huit ans qu’il les entendait se disputer à chaque fois que son père rentrait tard à la maison ; il avait l’habitude.
Tout à coup, l’image se brouilla et se décomposa comme si on avait fait brûler une photo. Une nouvelle scène commença.
Le petit garçon sur la balançoire avait grandit. Ces cheveux courts avaient poussés et étaient plus bouclés mais étaient toujours en bataille. Assis aux côtés de sa mère dans le bureau du directeur de son école, il avait toujours un regard vide d’émotion.
« Toutes mes condoléances pour votre mari Madame Boras » lança le directeur après deux minutes de silence dérangeant. « Je suppose que vous ne m’avez pas amené ici pour cela Mr Standes » lança sèchement la mère d’Antonio.
Le directeur fronça les sourcils et posa son regard sur le jeune garçon qui avait environ 8 ans.
« Non…c’est à propos de Antonio »
Le regard du garçon se leva vers lui et celui-ci continua comme si il n’était pas là ;
« Votre fils est…constamment seul, il ne se fait pas d’amis et parait…renfermé. Il participe à toutes les bagarres dans la cours de récré et fait peur aux maternel.. »
« Mon fils à d’excellentes notes, le reste ne vous concerne pas monsieur. »
Le directeur lança un regard interrogatif à Laura et celle-ci ajouta ;
« De toute façon, nous allons déménager. Voyez-vous, mon maris est mort mais nous a laisser avec toutes ses dettes et ses problèmes alors il vaut mieux pour la sécurité de ma famille que nous partions le plus loin possible…. »
La scène se dissolvait de nouveau et plusieurs images vinrent et s’en allèrent. Le déménagement de la famille Boras en Amérique, la nouvelle maison du jeune Antonio à Seattle, la première rentrée des classes dans un collège Américain, puis cette nuit là.
Le ciel était d’un bleu sombre en cette fraiche nuit d’Octobre à Seattle. Antonio descendait au salon quand sa mère s’apprêtait à partir. Le jeune homme était maintenant un adolescent et il n’avait pas tellement changé. Il avait prit plusieurs centimètres et était maintenant à la même taille que sa mère. Il s’approcha de sa mère et elle lui dit, l’air pressé ;
« Tu veux bien t’occuper de ta sœur ce soir s’il te plait ? Il faut absolument que je travaille cette nuit au resto Gab’ a besoin de quelqu’un pour remplacer Paty qui est malade… »
Le jeune homme fit la moue et protesta ;
« Maman, j’avais une soirée ce soir avec des potes, ça fait des semaines que j’t’en parle ! Je peux pas rester ici ! »
Sa mère s’approcha de lui et lui dit ;
« Antonio, nous avons besoin d’argent alors garde ta petite sœur s’il te plait ! »
Quelques heures avaient passées et le jeune homme était au pied du lit de sa petite sœur, la recouvrant en dessous de la couchette chaude de son lit. Il passa sa main dans les longs cheveux bruns de celle-ci et regarda l’heure qui indiquait vingt deux heures trente. Antonio sortit rapidement de la chambre et descendit doucement les escaliers. Son portable vibra indiquant un message de son meilleur ami, Stephen ; « on est devant chez toi, dépêche ! ». Le beau brun attrapa sa veste en cuir noire et la mit sur son dos avant de fermer doucement la porte de chez lui. Il chercha ses clefs et ferma la porte. Il hésita un instant ; est-ce bien ce qu’il s’apprêtait à faire ? Laisser sa petite sœur tout seule pendant qu’il irait dans un bar avec des potes ? Une voiture klaxonna et il arrêta de réfléchir, s’avançant d’un pas rapide en direction de la voiture.
La scène se dissolvait à nouveau. C’est cette nuit là qu’Antonio prit sa première cuite et il se réveilla vers 6h du matin alors que le barman le réveillait. Paniqué, apeuré que sa mère apprenne qu’il était quand même sortit, il se dépêcha de sortir du bar et courut en direction de sa maison. Il avait un mal de tête horrible et le petit soleil du matin qui se levait lui donner encore plus mal à la tête. Lorsqu’il arriva devant chez lui, trois voitures de police et un camion de pompiers étaient garés dans la rue. Tous les voisins étaient debout devant chez lui, regardant avec interrogation, voulant savoir ce qu’il se passait. Antonio rentra chez lui et découvrit ce qu’il se passait.
La scène disparut de la même manière que les autres. Le jeune Boras était plus vieux, il avait 17 ans. Il avait encore pris des centimètres et mesuré maintenant 1m76. Ce qui ne changeait pas, s’était ses cheveux qui étaient toujours en batailles. Il était assis sur une chaise devant un bureau. Son regard était triste et il avait des cernes sous les yeux. Il était fatigué. Fatigué et triste. Le psychologue scolaire parla en premier ;
« Alors dites moi Antonio, vous habituez-vous bien à votre vie à Londres ? »
Pas de réponse. Antonio avait le regard perdu vers la fenêtre par laquelle on voyait clairement la pluie tomber sur la ville d’Angleterre.
« Nous sommes un jour spécial aujourd’hui n’est-ce pas Antonio ? Avez-vous résisté à l’envie d’aller vous prendre une cuite pour oublier ? »
Le jeune homme déplaça son regard vers le psychologue et des larmes lui montèrent aux yeux. Mais rien ne sortit de sa bouche.
« Je sais que ça doit être dur de vivre ce jour sans votre mère. Vous croyez peut-être qu’elle vous en veut mais c’est faux Antonio, elle vous l’a dit. Peut-être même que si vous n’étiez pas sortit ce soir là, ils ne se seraient pas contenter de tuer votre petite sœur mais vous auriez été assassiné vous aussi. »
Antonio balança sa tête de droite à gauche et regarda le sol ;
« Non…si j’avais été là, j’aurais pu la défendre, et elle n’aurait pas été tuée ! »
Le psychologue fronça les sourcils et nota quelques mots sur son cahier avant d’ajouter ;
« Calmez vous s’il vous plait… c’est la première fois que vous m’adressez un mot depuis le début de nos séances alors pas calmez vous. »
« De toute façon, c’est de la faute de mon père ! S’il ne s’était pas suicider comme un lâche il y a dix ans, il ne nous aurait pas laissé ma mère, ma sœur et moi dans cette galère… » Lança t-il sur le même ton que tout à l’heure.
« Que voulez-vous dire ? » demanda le psychologue.
« Je veux dire que mon père avait beaucoup de dettes et que, en partant, les personnes à qui il devait de l’argent on fait peur à ma mère. C’est pour ça que nous sommes allé vivre en Amérique… j’ai peur que maintenant, ils s’en prennent à ma mère. »
« Qui ça ils ? » demanda t-il toujours sur le même ton.
« Mais j’en sais rien moi ! » Hurla le jeune homme.
Tout à coup, un « BIP » répétitif retentit dans la salle. Antonio tournait sa tête, le psychologue lui n’avait pas l’air d’entendre quoi que ce soit. Ce n’était pas normal, ça ne s’était pas passé comme cela…. La scène disparut et se fit le noir total. Seul le petit BIP agaçant du réveil résonnait. Antonio ouvrit les yeux et, machinalement, frappa son réveil qui arrêta ce BIP horrible. Il s’asseyait sur son lit et passa sa main dans ses cheveux bruns bouclés. Ce rêve, ce rêve où il voyait toute sa vie défiler, il le faisait souvent. Trop souvent.
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Dernière édition par Antonio P.Boras le Sam 27 Fév - 19:21, édité 10 fois |
| | | Antonio P.Boras
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| Sujet: Re: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 14:29 | |
| Le vrai toi
• Prénom/Surnom ; Marie / Twilli sur les fo' de graph' • Age ; 18 ans • Hobbies ; Le dessin, le graph', l'écriture, la peinture, la musique & le ciné • Groupe du Personnage ; Party is my drug • Comment trouves tu le forum ? ; Super • Comment es-tu arrivé(e) sur le forum ? ; W.S • Qui est sur ton avatar ? ; C'est une blague ? Vous ne reconnaissez pas le grand, le magnifique, le talentueux, le canon JOE JONAS ? • Autres choses à dire ? ; Hummm....non • Code ;
- Spoiler:
Les admins sont génialissimes
• Exemple de RP ;
- Spoiler:
- Thomas Stewart a écrit:
Cela faisait maintenant quelques jours que le bal avait eus lieu et j’étais au plus mal. J’avais passé le week end entier enfermé dans ma chambre, dans le noir le plus profond à repenser à tout ce qui s’était passé en seulement quelques minutes. Heureusement que Lucy, ma meilleure amie avait été là pour moi et elle avait réussie à me faire sortir en allant la chercher à l’hôpital. J’avais sécher presque tous mes cours sauf mon cours de photographie. La photographie était une des seules choses qui m’intéressais vraiment et elle me permettait de ne plus penser à tout cela. C’est donc grâce à elle que la veille, j’étais allée au centre ville afin de prendre en photo tout et n’importe quoi, les immeubles, les gens pressés qui parcouraient la grande ville de New York.
En me levant en ce samedi pluvieux, je décidais de me reprendre en main, je ne voulais pas finir comme l’année dernière, ce comportement de laisser allé m’étais familier, je l’avais déjà eu l’année dernière lorsqu’on m’avait déjà fait ce coup là. Comment faire confiance aux femmes lorsque toutes celles que l’on rencontre finissent par nous tromper ? Je ne savais pas si j’allais pouvoir refaire confiance à qui que ça soit après cet évènement. Ne pas entendre la voix de Louisa en une semaine m’avais fait vraiment bizarre, j’avais l’habitude, quand je ne la voyais pas de la journée, de l’appeler entre vingt heures et vingt et une heure afin que nous nous racontions notre journée. Oui, elle me manquait mais si je pensais à elle, ce sentiment de manque s’accompagner d’un sentiment de colère et de tristesse. J’essayais donc de ne pas trop y penser même si, ne pas penser lors d’un moment de solitude était une épreuve assez difficile à vivre.
Il n’y avait qu’une seule solution pour me reprendre en main ; appeler la belle Louisa et la voir. Je ne savais pas si je pourrais lui pardonner ce qu’elle m’avait fait et la seule manière de savoir si je pourrais aurait été de la voir. Je décidai donc de prendre mon portable et de l’appeler. Allonger sur mon lit, je composai son numéro et laissa un message sur sa boite vocale. « Salut Lou', c'est Thomas...il faut que je te parle, peux-tu me retrouver sur le parking du lycée ce soir vers vingt heures ? Ce que je dois te dire ne se dit pas au téléphone...J'espère que tu viendras. » C’était un message pitoyable mais que lui dire d’autre ? Elle me répondit dans la journée qu’elle viendrait et un nœud se nouât dans mon estomac, une sensation désagréable que j’eus toute la journée.
Je passai ma journée dans ma chambre, sur mon ordinateur, retouchant mes photos prises la veille sur photoshop. Lorsque l’horloge indiquait dix neuf heures, je décidais de me préparer. J’enfilai un jean et un tee-shirt noir au dessus duquel je mis ma veste en cuir noire. Je me regardais un instant devant le miroir et passa ma main dans mes cheveux, pas le temps de les coiffés, de toute façon, mes cheveux étaient indomptables….A dix neuf heures trente, je traversais les couloirs de Wonder School, le pas rapide afin de ne pas tomber sur une personne sur qui je n’aurais pas voulu tomber comme Andrews par exemple….
Lorsque j’arrivais dans le parking, celui-ci était presque vide. Seules quelques voitures y étaient garées. Le parking était éclairé par quelques lampadaires de part et d’autre de celui-ci. La nuit était en train de tomber et quelques étoiles brillaient dans le ciel presque noir de New York. Je claquai mon dos contre le mur et repensa au bal, je revoyais Louisa en larmes devant moi, elle avait vraiment l’air de regretter mais moi, je ne savais pas quoi faire, j’étais tiraillé entre plusieurs sentiments tellement contradictoires, et en plus, j’avais un choix a faire, mais je ne savais pas quel chemin prendre. J’étais perdu.
Dernière édition par Antonio P.Boras le Sam 27 Fév - 17:31, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 14:32 | |
| Weelcome Marie ! encore avec ton jooooeee :p |
| | | Alexander L. Wood
▌ADMIN. ; Stop the world
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| | | | Antonio P.Boras
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| | | | Antonio P.Boras
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| Sujet: Re: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 19:22 | |
| J'ai terminé : ) J'avoue avoir été particulièrement inspirée ^^ |
| | | Chelsea Lily Miller Admin
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| Sujet: Re: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 20:44 | |
| WELCOME HERE ! Pour toute questions n'hesite pas a contactez les admins Wink Merci de ton inscriptions &&' VALIDe =) Alors pour couple, c'est toi qui voit C'est juste que tu a la proritée dans les demandes de lien |
| | | Antonio P.Boras
» Age : 17 ans » Classe : Première » Photo d'identité :
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| | | | Chelsea Lily Miller Admin
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| Sujet: Re: « La grande faiblesse de la raison, c’est qu’elle n’a de pouvoir que sur les gens raisonnables. » (André Maurois) // Antonio // FINI Sam 27 Fév - 21:27 | |
| Derien Marie Tres belle fiche ! Je vérouille . |
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